La sécurité privée, un maillon essentiel de la protection des personnes et des biens , est une fois de plus pointée du doigt pour des pratiques douteuses.
Une situation qui illustre les dérives d’un marché marqué par la précarisation des agents et les abus de certaines entreprises, entre sous-traitance incontrôlée, recours illégal aux auto-entrepreneurs et salaires non déclarés. Alors que les contrôles se durcissent, cette fraude massive pose la question des responsabilités et des réformes nécessaires pour assainir une profession déjà fragilisée par la guerre des prix.