Peut-on encore prétendre qu’un agent de sécurité n’est pas en train de travailler lorsqu’il se change avant sa prise de poste ?
Dans ce secteur où tout est encadré — horaires, comportements, gestes, apparence — le moindre temps passé sous contrainte devrait relever de l’évidence sociale. Le temps d’habillage, quand il est imposé, n’est pas du temps perdu.
Une affaire récente a montré à quel point l’interprétation purement administrative de certaines règles peut mépriser la réalité du terrain.
Et cette fois, la justice a recadré les choses. Sévèrement.
Pourquoi cette décision change la donne pour les entreprises de sécurité privée ?
Quels agents sont réellement concernés ?
Et surtout, quels risques prend-on à ne pas s’y conformer ?
Voici ce qu’il faut retenir.