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Et si des sociétés de sécurité privée se voyaient “agrées” pour “flasher” les excès de vitesses sur les routes ? Cela pourrais devenir “rapidement” une réalitée !
En effet, Manuel Valls à annoncé à l’issue du comité interministériel de la sécurité routière, dans ça mesure n°2:
“Augmenter, dans les meilleurs délais, l’utilisation des radars embarqués dans des véhicules banalisés, en confiant leur mise en œuvre à des prestataires agréés, sous étroit contrôle de l’Etat.”
A l’issue du comité interministériel le 2 octobre 2015, Manuel Valls a annoncé 22 décisions fortes, avec 4 objectifs : intensifier la lutte contre les comportements dangereux, renforcer la protection des usagers vulnérables, garantir l’égale application de la loi par tous, et mettre davantage les nouvelles technologies au service de la sécurité routière.
Compatible avec le Code de la sécurité intérieure livre VI ?
Il faudrais modifier plusieurs points pour que cela soit “légal”:
– Autoriser l’utilisation d’un véhicule banalisé pour ce type de mission (les véhicules de sociétés de sécurité privée doivent être sérigraphié et identifiable)
-Autoriser de manière “permanente” une activitée de sécurité privée, pour ce type de mission, sur la voie publique actuellement, c’est sous autorisation préfectorale).
– Ce type de mission nécessitera (en plus d’une sorte “agrément” spécifique du préfet ou du CNAPS) quels types de carte pro ? (surveillance par des moyens électronique ? autres ?)
La sécurité privée adapté à ces types de missions ?
Les sociétés de sécurité privée seraient les plus “adaptés” pour ce type de mission, car le contrôle de moralité est fort, avec un “conseil de l’ordre” (cnaps), un code de déontologie, formation obligatoire, etc … Un double agrément (comme pour la sûreté aéroportuaire) serais facilement mise en place pour les “agents de”sécurité routière”.
Ca choquerais l’opinion Française ?
Voir des agents de sécurité privée placé un véhicule banalisé de contrôle de vitesse ?
– 1: Les véhicules seraient banalisés (aucune mention extérieur de “privée”). Ils pourraient être même détenu par l’état lui même
– 2: On ne verrait pas les “agents de sécurité” sur la voie publique. Ils seraient dans le véhicule (comme les policiers qui restent dans celles-ci)
– 3: Les emplacements, les lieux, les horaires, seraient “imposés” par un représentant du commissariat/brigade aux “agents de sécurité routière”
– 4: Pas besoin de détenir une assermentation ou un pouvoir judiciaire pour ces agents pour constater les délits: c’est le systèmes embarqués qui le fait automatiquement. Les agents de sécurité routière serons juste les “chauffeurs” du système de contrôle de vitesse automatique.
Bilan
Pourquoi payer deux fonctionnaires de police/gendarmerie pour “poser” un véhicule banalisé qui fait simplement un contrôle automatique ? c’est la machine qui constate, pas les fonctionnaires.
On ne parle pas bien entendu du contrôle aux “jumelles” qui nécessite une interpellation par la suite …
C’est déjà des sociétés privée qui “posent” les radars fixe et qui les entretiennent ! Pourquoi par les radars automatiques mobiles ?
Donc je serais pour une nouvelle activitée pour la sécurité privée, qui participerais ainsi, à leur niveau, la sécurité routière !
Reste à voir si Manuel VAlls à comme idée les entreprises de sécurité privée pour faire ce type de mission … Cela fera de l”emploi !
Comité interministériel de la sécurité routière Présidé par Manuel VALLS, Premier ministre