Dans la sécurité privée, les plannings sont souvent une arme à double tranchant. Entre week-ends sacrifiés et mutations imposées, de nombreux agents se retrouvent piégés par des décisions unilatérales qui bouleversent leur équilibre de vie.
Derrière l’argument de la flexibilité, certaines entreprises n’hésitent pas à exploiter la clause de mobilité de manière abusive, l’utilisant comme un levier pour pousser un salarié vers la sortie sans assumer un licenciement.
Quand un agent se voit contraint d’accepter un poste à des dizaines de kilomètres de chez lui, sans alternative viable, est-ce encore une organisation du travail légitime ou une sanction déguisée ? Ce cas illustre parfaitement ces dérives et rappelle que les droits des salariés ne sont pas une variable d’ajustement.
Week-ends supprimés et mutations forcées : quand la flexibilité devient un piège
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