Dans les métiers de la sécurité, où la fiabilité et l’intégrité des candidats sont au cœur des préoccupations, chaque recrutement est une décision stratégique. Le contrôle de référence, qui consiste à contacter les anciens employeurs pour vérifier les compétences et le sérieux d’un postulant, semble être une étape évidente pour sécuriser ce choix. Mais cette pratique, en apparence simple et utile, soulève de nombreuses interrogations.
Peut-on réellement tout demander ? Que risque une entreprise qui répond sans précaution ? Et qu’en est-il du consentement du candidat, souvent oublié dans la précipitation d’un recrutement ? Entre les obligations imposées par le Code du travail, la protection de la vie privée, et les exigences du RGPD, ce sujet se révèle bien plus complexe qu’il n’y paraît. Quels sont les véritables risques juridiques et comment se prémunir des erreurs ?
Les réponses ne sont pas aussi évidentes qu’on pourrait le croire.
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