Et si un simple mail suffisait à vous faire perdre votre emploi ?
Dans le secteur de la sécurité privée, la pression d’un client peut parfois suffire à déclencher un licenciement. Un responsable mécontent, un message expéditif, et l’agent disparaît du site… puis de l’entreprise.
Mais cette mécanique bien huilée s’est enrayée. Une société vient d’en faire les frais, lourdement. Parce qu’elle a préféré croire le client sur parole, sans preuve, sans vérification. Résultat : plus de 16 000 euros à verser à un salarié évincé sur la base d’accusations invérifiables !.