Le verdict est tombé. Le CNAPS a examiné le recours gracieux de Protectim Security Group et l’a rejeté sans appel. La sanction prononcée le 30 janvier 2025 est confirmée : 18 mois d’interdiction d’exercer, 20 000 € d’amende, avec une publication sur le site officiel du CNAPS et dans un journal national Le Parisien.
Mais surtout, ce n’est pas un simple écart de procédure.
C’est un système de fonctionnement complet qui est mis en cause, structuré autour d'une sous-traitance hors des clous légaux.