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Conformément à l’article 10 de l’arrêté du 27/02/17: Au II:
Les enseignements théoriques mentionnés au I peuvent être dispensés à distance. Dans ce cas, l’organisme de formation délivre un accès individuel à la plate-forme d’enseignement à distance. Un tableau de suivi de la formation à distance est signé par les stagiaires et par le formateur, pour chaque module. Un questionnaire final d’évaluation doit être validé, pour chaque module, afin de permettre l’accès au module suivant.
Pourquoi avoir laissé cette possibilité de e-learning lors du recyclage des carte pro seulement pour les métiers des convoyeurs de fond ? En effet, dans le domaine théorique, cela aurait pu être transposable sur tous les métiers non ?
Et bien justement, c’est parce que les professionnels de la surveillance humaine non pas eu cette idée, que cela n’apparaît pas dans cet arrêté ….
Voici la réponse officielle que j’ai reçu …
“L’ouverture au e-learning a été proposée par les professionnels du TDF, et autorisée sous certaines conditions, au regard des conditions particulières du secteur et du faible nombre d’organismes de formation spécialisés dans le domaine notamment.“
Donc les entreprises de TDF sont-elles moins bêtes que les entreprises de sécurité privée classique ? Ou le problème viens du fait que les syndicats “surveillance humaine” sont parasités par un cheval de Troie venu de syndicats pro-formation ? qui lui à tout intérêt à faire du face à face pédagogique (pour rentabiliser un peu plus les centres de formations …).
En effet, pour toute la théorie, à l’heure du digitale (avec vidéo, mise en scène, explications détaillés, etc ..), pourquoi ne l’avoir pas “proposé” pour le recyclage des agents de sécurité privée ?
Là encore, je dénonce des “petits diners entres amis” ; des lobbyistes …
Pour ce type d’arrêté, il faudrait faire une “enquête publique”, un “appel aux contributeurs” pour que chacun puissent donner sont avis, comme pour les projets de normes par exemple …