En 2011 et 2012, M. A B exerçait une activité de sécurité privée sans carte professionnelle, un acte en violation des réglementations en vigueur. Plus de dix ans plus tard, en quête de réinsertion dans ce secteur, il se heurte à un refus catégorique de la part du CNAPS.
La justice à tranchée. Cette décision pose une question essentielle : l’ombre d’une infraction ancienne peut-elle définitivement empêcher une réintégration professionnelle dans la sécurité privée ? Découvrez les détails de ce cas fascinant et les implications légales qui en découlent.
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