L’affaire du 13 novembre 2015, où M. [C] a été victime de l’attentat au Stade de France, ne se limite plus à sa recherche de compensation pour ses blessures physiques et psychologiques. Aujourd’hui, elle éclabousse aussi le CNAPS (Conseil National des Activités Privées de Sécurité), qui s’est retrouvé impliqué malgré lui dans un scandale d’emploi fictif sous haute pression politique. Cet article revient en détail sur les faits, les pressions exercées sur le CNAPS, et le lien entre cette embauche et les demandes d’indemnisation de M. [C].
Un attentat traumatisant : La situation de M. [C]
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