Un cadre légal bien établi
L'État, en tant que garant ultime de la sécurité des Jeux Olympiques auprès du Comité international olympique, se doit d'intervenir en cas de défaillance du Comité d'organisation des Jeux Olympiques (Cojop).
Dans le rapport examiné, il est précisé que, bien que les pouvoirs publics puissent jouer un rôle de substitut, il est essentiel de limiter le transfert de responsabilités de l'organisateur vers les pouvoirs publics.
Cependant, si une substitution est nécessaire, notamment pour les missions de sécurité privée, elle doit être financée par le Cojop selon des modalités prédéfinies.