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Dans le cadre des manifestations des gilets jaunes, des journalistes de BFM TV ont été protégés … par des gardes du corps rémunérés au black, et certainement pour plusieurs d’entre eux, ne devaient pas avoir d’autorisations de l’état pour assurer cette mission (Absence de carte professionnelle délivrée par le CNAPS).
Les missions non déclarées de ces APR ont eu lieu à Paris, Nantes, Lyon et Marseille (certainement dans beaucoup d’autres villes !).
Cette protection de journalistes a été assurée notamment par certains “Albanais” qui parlais très mal le Français et qui demandais à ces “confrères APR” :”si gilet jaune tape, moi je dois quoi faire ?”.
Comment ces gardes du corps ont été recrutés ?
Via des groupes créés sur Whats App… par un “responsable sécurité BFM”. Les “APR” étaient rajoutés sur ces groupes par des “connaissances” de “connaissance” (par cooptation) il n’y a eu aucun entretien préalable d’embauche, de “contrôle” de CV, ni de contrats signés ou d’ordre de mission. Aucune DPAE ni d’autre preuves qu’une déclaration bien été faite.
Aucune délivrance de carte professionnelle matérialisée provenant de l’entreprise qui les recrutes (obligation légale).
C’est de l’ordre de plusieurs dizaines (peut-être plus !) d’APR recrutés ainsi, dont des dizaines en dernière minute (en “urgence” …)
Comment ces gardes du corps ont été payés ?
Par Western Union ou moneygram bank,
Les virements étaient assurés par une personne “responsable sécurité BFM” …
Armstrong Security derrière ce contrat avec BFM ?
A priori, ce serait une société de sécurité basé à Londres qui assurerais le contrat “réel” avec BFM TV … avec un de ses “représentants” basé en France (et qui était aussi sur une liste pour le vote aux élections Européennes !)
La société “BFM TV” pourra-t-elle se voir reprocher une coresponsabilité pour tous ces travailleurs non déclarés ?
La direction de “BFM TV” a-t-elle fait prendre un risque à ces journalistes en ne s’assurant pas que la société de “protection rapprochée” était sérieuse ?