Comment prouver une faute grave lorsqu'une preuve vidéo, pourtant annoncée, n'est pas produite devant le tribunal ?
Les témoignages de ceux qui ont visionné ces images peuvent-ils suffire pour valider un licenciement ?
C'est une affaire délicate opposant un agent de sécurité à son employeur. Alors que l'absence d'enregistrement semblait affaiblir la défense de l'entreprise, les juges ont décidé de se baser uniquement sur les témoignages circonstanciés des visionneurs.
Que s'est-il réellement passé, et quelles leçons en tirer ? Plongeons dans les faits !