La réglementation sur le temps de travail des agents de sécurité soulève régulièrement des interrogations, en particulier lorsque des circonstances exceptionnelles nécessitent une adaptation des effectifs. Jusqu’où peut-on aller pour répondre à des besoins urgents sans compromettre la santé des salariés ? Comment concilier les impératifs de sécurité avec les limites imposées par le droit du travail ?
Une affaire récente, impliquant le Groupement Parisien Inter-Bailleurs de Surveillance (GPIS), met en lumière ces tensions. Entre le refus de l’administration et la demande pressante d’une dérogation pour dépasser la durée maximale hebdomadaire, quels arguments ont prévalu ?
Des questions cruciales pour un secteur confronté à des réalités complexes.