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Décathlon condamné à verser 40 000 euros après un litige sur un article à 10 euros

Accusée de vol pour un débardeur à 10 €, une salariée se retrouve licenciée. Portiques, sécurité, vidéosurveillance... tout bascule ! Mais l'employeur, faute de preuves solides, doit payer 40 000 € 💼⚖️. Une affaire qui interroge sur les contrôles en magasin 🔍🛒.

Un débardeur à 10 euros, une sonnerie de portique, et voilà une salariée interpellée par un agent de sécurité en plein magasin. L’affaire aurait pu s’arrêter là, mais elle va prendre une tournure bien plus sérieuse. Accusée de tentative de vol, la salariée se voit mise à pied et licenciée. Ce scénario, pourtant banal dans l’univers de la grande distribution, va se retrouver au centre d’un long bras de fer judiciaire.

Comment l'employeur a-t-il géré la situation ? Les preuves étaient-elles suffisantes pour justifier une telle sanction ? L’intervention de l’agent de sécurité a-t-elle été déterminante ? Plongeons dans les détails d’une affaire qui soulève de nombreuses questions sur la gestion des contrôles en magasin.

Sonneries de portiques, accusations de vol et preuves en fumée

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