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Comment renforcer la sécurité dans les trains

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Contrôles aléatoires ou discriminatoires, généralisation des portiques dans les TGV… Chacun a sa bonne idée pour réduire les risques d’attaque dans les trains, suite à la fusillade survenue vendredi 21 août entre Amsterdam et Paris dans le train Thalys 9364. La ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, également ministre de tutelle des Transports, souhaite instaurer des portiques pour contrôler les voyageurs avant de monter dans les trains internationaux. Aujourd’hui, seul le terminal Transmanche de la gare du Nord pour l’Eurostar est équipé.

Il n’existe aucune solution parfaite pour garantir la sécurité vis-à-vis d’attaques terroristes dans un espace ouvert. Les moyens déployés sont déjà énormes avec le plan Vigipirate. Aujourd’hui, 30 000 policiers, gendarmes et militaires sont mobilisés sur les 5 000 sites sensibles, sans compter les 1 250 agents de sécurité de la RATP et les 3 000 membres de la police ferroviaire (SUGE). “Il faut surtout permettre à des agents civils de la SUGE d’être présents dans les trains”, suggère le criminologue Alain Bauer, qui enseigne au CNAM (Arts et Métiers).

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