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Les sociétés françaises n’ont pu se positionner sur ce marché à fort potentiel et n’ont d’autre choix que de contracter avec des sociétés étrangéres. Cette situation est également à l’origine de la fuite de cadres de la Défense vers les sociétés étrangéres.
Les principales ESSD françaises sont:
-GEOS. Elle conduit des missions de sécurisation sur terre et sur mer (protection non armée des navires), des activités de conseil et de recommandations, de veille stratégique, d’assistance technique dans des zones difficiles, assure des transferts de valeurs et intervient dans l’intelligence économique.
-GALLICE est principalement implantée en Irak, au Gabon, en Mauritanie, à Madagascar. L’entreprise assure des missions de formation, de conseil, d’appui opérationnel.
-GALEA, Guyane
-DCI, société de droit privé, sous tutelle du ministère de la Défense, détenue à 49,9% par l’Etat, le reste par l’Office général de l’Air, la Sofresa (Société française d’exportation de systèmes d’armements) et l’Ofema (Office français d’exportation de matériels aéronautiques). La DCI, pour reprendre les mots de Belkacem Elomari, directeur de l’Observatoire des transferts d’armements, est « une forme de privatisation de la coopération militaire française ». Elle est forte de 800 hommes, retraités de l’Armée de la DGA et militaires détachés.
Deux sociétes francophones tentent de s’aligner sur les SMP anglo-saxonnes:
-Le groupe Earthwind Holding Corporation (EHC) basé au Luxembourg dans un premier temps et au Delaware maintenant.
-La Secopex
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