L'utilisation d'armes non létales par les agents de sécurité suscite un vif débat dans le domaine de la sécurité privée, notamment en raison des implications légales et des enjeux de responsabilité. Une affaire, qui s'étire depuis plusieurs années, a récemment été relancée devant la justice française. Ce dossier interroge sur la légalité et les conséquences de l'utilisation d'un pistolet à impulsion électrique par un agent de sécurité dans un contexte où la situation a pris une tournure tragique.
Dans cette affaire, la responsabilité des acteurs de la sécurité privée est remise en question, tant sur le plan des procédures que de l'utilisation de certains équipements. Le cadre juridique encadrant ces pratiques, ainsi que les demandes de contre-expertise, ont été des points centraux de ce dossier, révélant des zones d'ombre sur l'encadrement des outils d'intervention.