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(…) suite à la connaissance des faits du 1er mai, pour lesquels Alexandre Benalla est mis en examen, « j’ai demandé le retrait de ces deux titres au regard de l’apparition de nouvelles mentions sur les fichiers » judiciaires explique Jean-Paul Celet.
« J’ai considéré, et pas seulement pour le cas (d’Alexandre Benalla), que dès lors que les faits étaient publiquement attestés – la moralité peut être regardée par tous moyens – et que ces faits étaient déjà introduits dans les fichiers, notamment le TAJ (traitement d’antécédents judiciaires), qu’il était possible de demander le retrait des cartes. (…) Je considérais que les actes étaient incompatibles avec l’exercice d’agent de sécurité privé ».
Jean-Paul Celet, ancien directeur du Conseil national des activités privées de sécurité